1. La gare de Châtelineau
  2. Plan Magritte : Biennale et musée vivant à ciel ouvert.
  3. Quels financements d’un projet culturel visant la création d’un centre culturel René Magritte, une biennale un musée à ciel ouvert au sein de la deuxième ville de l’Arrondissement de Charleroi et de la dixième ville de la Région Wallonne. Janvier 2018.
  4. De nombreuses interventions du groupe écolo visant à relier l’identité des habitants de Bouffioulx, à leurs racines empreintes de ruralité et de savoir-faire à mettre en avant.
  5. Bilan écolo 2016 : Fonds Européen (FEDER) Charleroi 142 millions, Farciennes 6 millions Châtelet : RIEN ………(dossier incomplet) Incapacité à aller chercher des subsides européens Feder alors que nous sommes sur 14 communes de l’arrondissement, 13ème au niveau des indicateurs de pauvreté et du manque de rentrées liées à l’impôt des personnes physiques.
  6. 2017 des clopinettes pour fêter Magritte: (rien n’était prévu au budget 2017) les socialistes croient-ils au levier de la culture?
  7. Châtelet commune zéro déchet : refus en 2016-2017 de la ville d’entrer en dossier de projets permettant de recevoir des moyens et des subsides (2018: veille des élections, ils introduisent un dossier! )

 

  1. la gare de Châtelineau (une des multiples interventions sur ce dossier important au niveau mobilité, culture et sécurité )

La gare de Châtelineau, symbole d’un riche patrimoine au service d’une ville de culture en mobilité et en sécurité : un choix politique citoyen proposé en débat par le groupe Ecolo

Demain, les gares seront appelées à devenir des hauts lieux de mobilité, de culture et d’habitats regroupés et sécurisés. Ce n’est pas pour rien que les grandes villes investissent dans ces espaces de mobilité.

La ville de Châtelet a investi, il y a plus de 10 ans, dans l’aménagement urbain extérieur à la gare.

Une gare de bus a aussi été créée avec de grands parkings et un plan d’aménagement du territoire avait été déposé.

La SNCB a rénové la grande salle d’attente « des pas perdus » et redonne actuellement une nouvelle jeunesse aux magnifiques marquises et à l’arrière de la gare.

Le plan SNCB a globalement maintenu les départs et arrêts des trains vers Namur, Bruxelles, Mons et Liège. même s’il reste des problèmes de correspondances trains-bus.

Plusieurs investisseurs ( société immobilière …) ont osé investir dans la construction d’appartements (à vendre ) en espérant que cette place de la gare allait revivre.

Malgré ces investissements passés et actuels, un sentiment d’insécurité reste très présent. Cette nuit du 14 au 15 avril, une voiture a été brûlée devant la gare et c’est loin d’être un acte isolé de violence. Tout grand bâtiment à 90 % inoccupé, génère un environnement insécurisant, nuit à la qualité de vie et à l’espace urbain.

Une seule faille dans un aménagement global, c’est tout le projet qui peut déraper. D’où l’importance d’une vraie réflexion avec les habitants et riverains et une décision politique  si l’entrée gare constitue une priorité.

Cette insécurité doit être combattue par une réelle occupation de ces lieux qui se doit de s’inscrire dans un projet ville.

Le groupe écolo, après avoir rencontré des navetteurs, des habitants, fait remonter le débat et émet ces quelques propositions au menu du prochain conseil communal :

  1. Accepter l’offre de la SNCB faite au bourgmestre, d’occuper le bâtiment pour un franc symbolique avec une convention.
  2. Redonner une vie à ce magnifique bâtiment d’une très belle architecture en organisant le point mobilité: départ du parcours Magritte et du Centre d’Interprétation de la Poterie.
  3. Permettre à notre école du surréalisme de l’académie de dessin de peindre cette entrée de ville (peintures et sculptures invitant aux parcours du surréalisme possibilité d’ un atelier de peinture permanent au premier étage.
  4. Un point d’informations permanent «culture, tourisme, mobilité» devrait mettre en avant les atouts de notre ville.
  5. Un «café vélo» (location de vélos, réparation de vélos… ) favorisant la mobilité vers le Ravel et le parcours Magritte, le centre d’interprétation de la poterie et les pistes cyclables. (possibilité de collaboration avec une entreprise de formation par le travail EFT)
  6. Un point «infos mobilité» horaires et itinéraires des bus, et un parcours taxi «culturel» (une extension du taxi social)/
  7. Un local spécifique pour la police d’intervention. Celui – ci devrait rassurer les navetteurs, les habitants et futurs habitants (appartements en vente à gauche de la gare) et les touristes d’un jour.
  8. Vu la grandeur du bâtiment de la gare (à 90 % inoccupé) on pourrait réfléchir à la possibilité de l’ajout d’un pôle emploi (regroupement de toutes les initiatives locales d’accompagnement et de recherche d’un emploi en lien avec les « offreurs d’emplois ». Le point est simplement posé en débat.
  9. L’important est de susciter la réflexion et la prise de décisions afin que cette entrée de ville soit un symbole d’une dynamique de ville en culture, en mobilité en sécurité.

Il est difficile à Châtelet d’oser penser la ville tant le poids des résistances au changement est important. Ces propositions, le groupe écolo souhaiterait en débattre au conseil communal.

Tentons ensemble, avec toutes les forces vives de la ville, à mieux penser, construire et vivre «le Châtelet de demain»

Le 22 février 2018

2 Plan Magritte : Biennale et musée vivant à ciel ouvert.

2022: Arrêtons-nous par exemple sur une future place René Magritte devant de grandes sculptures en métal nous reliant à notre riche passé industriel sous de nouvelles formes dont seraient fiers nos pères, héros des mines et de la sidérurgie mais aussi la jeunesse éprise de créativité.

Pour les nouvelles générations, toucher la pomme de René Magritte deviendra une source de joies créatives. Des étudiants, de futurs indépendants, des artistes, des personnes devant faire un nouveau choix de vie ou de carrière pourront effleurer en guise d’espoir ou de réussite le chapeau de Magritte. Fumer la gigantesque pipe de Magritte sera source de créations artistiques où l’imaginaire est roi. La gare sera totalement dédiée à René Magritte et à l’école du surréalisme et à la création d’engins cyclables surprenants qui arpenteront les rues piétonnes. A la sortie de la gare le long de la Sambre, on pourra admirer une grande sculpture représentant les grelots. Les entrées de villes seront coiffées d’arches métalliques qui relieront des allées et des places verdoyantes. Une place sera constituée en échiquier surréaliste (jeux d’échecs, danses de dames au propre et aux figurés). La rue du commerce sera coiffées de parasols « Magritiens », Des artistes du street art créeront un musée vivant intégrant des galeries d’art, l’académie des beaux arts, des commerces surprenant dans leurs décors / un réseau d’économie circulaire coopératif transformera une rue du triangle en marché permanent du terroir et de bistros tapas. Des cafés bazar associeront dans l’impromptu : brocantes, secondes mains, deuxième vie et détournements d’objets surréalistes associés à une quincaillerie de services). Progressivement s’ajouteront selon les opportunités : une coopérative d’artistes, des restaurants aux menus et décorations surréalistes, des brasseries librairies (associant tisanes, ambiances surréalistes, ateliers d’écritures et d’expressions), des espaces de d’jams et de créations musicales qui animeront le cœur de notre ville. Provoquer avec ambition l’utopie, c’est préparer le futur de demain au départ d’une identité de ville tout en surréalisme en réseaux d’échanges et en monnaies Magritte.

Plan Magritte : création d’une ville musée vivant à ciel ouvert

Ce projet vise à proposer à la porte d’entrée de Charleroi en direction de la capitale Wallonne (Namur) et dans le prolongement de la Sambre une identité de ville dans le prolongement du Charleroi culturel. Il ne peut pas y avoir de plan de rénovation urbaine sans mise en perspective d’une identité culturelle créant une affirmation, une fierté d’habiter un lieu. Ce projet que j’ai proposé au nom du groupe écolo dans une perspective d’une appropriation collective de l’ensemble des forces vives a retenu toute l’attention du directeur général de la ville de Châtelet (qui en a demandé une copie ) et de l’échevin de la culture qui a trouvé le projet très intéressant tout en ajoutant que Châtelet doit malheureusement choisir entre des routes et la culture !

Sachant que

D’où une recherche de financement… et d’un prochain dossier.

Proposition d’un véritable plan Magritte « ceci n’est pas surréaliste »

  1. Un vraie Musée Magritte à Châtelet reconnu, subsidié, sécurisé avec des conventions de partenariats de peintures en prêt
  2. Un parcours entre les villes où Magritte a vécu , coordonné par les différents pouvoirs subsidiants la culture, permettrait d’inciter des touristes belges et étrangers à découvrir les lieux de vie de René Magritte
  3. Organisation d’une Biennale René Magritte au service des créations nouvelles d’artistes contemporains de Châtelet et d’autres régions.
  4. La réalisation de ces sculptures en acier, fer, inox (ou /et en bronze) créées par des artistes, des collectifs d’académies des Beaux Arts dans le cadre de la Biennale constituerait un symbole d’un territoire en transformation où l’art, l’innovation sont au service de l’élévation culturelle et du développement économique.
  5. Il n’est pas surréaliste  de penser une ville où l’art prendrait possession des places. Celles-ci se transformeraient en musée contemporain à ciel ouvert.

« Ceci n’est pas surréaliste » : Demain , Châtelet, berceau reconnu de l’inspiration surréaliste de René Magritte , terre de créations de sculptures surréalistes contemporaines.

Cela suppose une reconnaissance de « la maison Magritte » en véritable musée avec des œuvres en prêt et la création d’une Biennale René Magritte.

Les autorités de la ville demanderaient à des personnalités importantes de co-présider cette Biennale

Nous sommes nombreux à souhaiter un vrai investissement autour du rayonnement de René Magritte à Châtelet, un plan ambitieux pour mettre en valeur l’héritage de René Magritte et le rôle majeur de la ville de Châtelet (et alentours) dans l’éclosion de son talent aux travers des lieux d’inspiration qu’on retrouve dans ses œuvres.

Il est temps de dépasser les événements ponctuels (un week-end Magritte par an) et inscrire son inspiration Châtelettaine via un ancrage permanent dans le présent et le futur de nouvelles créations contemporaines.

Sans châtelet Magritte ne serait pas Magritte.

3 Quels financements d’un projet culturel visant la création d’un centre culturel René Magritte, une biennale un musée à ciel ouvert au sein de la deuxième ville de l’Arrondissement de Charleroi et de la dixième ville de la Région Wallonne.

La réflexion comprendra une introduction suivie de sept leviers concernant les autres niveaux de pouvoirs et une recherche de financement par mécénats.

Introduction

Une ville doit pouvoir utiliser un maximum d’opportunités de créations de projets et de financement dans le cadre de ses compétences.

Une ville, comme Châtelet, ne dispose pas, d’équipes universitaires travaillant à temps plein et se centrant essentiellement sur des projets et des lobbying au niveau des Ministères. La ville de Châtelet n’est plus représentée par des députés de Châtelet, depuis longtemps, et manque de vrais relais au niveau des présidents de partis et des Ministres. Une ville qui n’enrichit pas son patrimoine s’appauvrit ! La métropole de Charleroi se doit de dynamiser le patrimoine créatif, économique et culturel des villes au sein de son bassin de vie en favorisant la reconnaissance officielle des projets qui intègrent notre passé et notre culture.

Une opportunité nous permet de célébrer les 120 ans de la naissance de René Magritte et celle-ci se doit d’être saisie, malgré les difficultés financières pour créer un grand projet sur minimum 10 ans qui se devrait d’accompagner le plan de rénovation du centre ville que nous appuyons (mais un nouveau projet de rénovation urbaine sans grand projet culturel ne peut que limiter les effets positifs de ce nouvel ré-aménagement du territoire).

Notre ville n’est point une métropole (comme Charleroi) mais elle est sur base du critère de la population la deuxième ville de l’arrondissement de Charleroi, la sixième ville de la province du Hainaut, la 10ème ville de la Région Wallonne de plus son passé culturel est en lien direct avec de grands peintres et artistes reconnus.

Nous constatons les difficultés de notre ville à disposer de cellules stratégiques ou d’un bouwmeester (dont nous espérons pouvoir bénéficier de la dynamique créative et innovante). Nous nous centrerons, aujourd’hui, sur les infrastructures culturelles (un grand centre culturel René Magritte…), un vrai musée René Magritte et des financements culturels permettant d’oser espérer pouvoir créer une grande biennale et pourquoi pas : une ville musée à ciel . Provoquer l’utopie n’est-ce pas déjà mettre la ville en situation de transformation ?

Par conséquent, il est important,   de mettre en œuvre des projets de développement culturel et des stratégies, d’autant plus que notre ville dispose d’un patrimoine important et que la plus grande pauvreté est d’abord culturelle ! Il s’agit de susciter un bassin de vie où il fait bon vivre ensemble et où le soleil de la culture, de l’éducation populaire, rendent beaux, nos territoires, notre patrimoine et nos habitants riches de l’intégration de leurs différences et de leurs richesses culturelles.

La stratégie à mettre en œuvre comprend au moins sept leviers d’action

1. Le dynamisme de notre ville qui doit porter de grands projets sur 5 – 10 -20 ans (voir dossier 9 pages en fichier attaché: Projet de Châtelet musée vivant à ciel ouvert» pièce à casser, à améliorer et à relier au projet de rénovation urbaine)

2. De la métropole à une nouvelle dynamique de communauté urbaine intégrant un ensemblier culturel du bassin de vie.

La ville de Charleroi obtient régulièrement d’importants subsides suite à la création de projets et de dossiers bien ficelés par des équipes de professionnels (voir annexes à ce dossier). La ville métropole limite souvent ses projets culturels à ses cinq districts sans les prolonger au niveau des cantons. Châtelet est la grande porte d’entrée « Est » de Charleroi (pôle santé via le futur hôpital, pôle culturel via notre histoire commune de Paulus à Magritte et pôle industriel via la Sambre et ses méandres en direction de Namur, capitale de la Wallonie.

Nous demandons un vrai plan de synergies et la remise en avant de la communauté urbaine, de la conférence des bourgmestres et du comité de développement stratégique incluant un important pôle culturel. Il s’agit d’ organiser les transformations économiques et culturelles (les deux sont liées) au sein de l’ensemble du bassin de vie de Charleroi (29 communes). La métropole doit introduire dans le domaine culturel des dossiers à l’Europe, à la Province, à la Région, à la Fédération Wallonie Bruxelles avec ses villes et communes périphériques.

Il serait intéressant également de permettre à des villes comme Châtelet de bénéficier du travail de l’équipe CB Charleroi Bouwmeester, le retour sur financement de cette synergie ne pourrait qu’être bénéfique aux villes périphériques.

Ces artistes européens, ces associations comme « Asphaltes », ces subsides d’artistes de la Province au niveau du Street Art et la création d’oeuvres sur des entrées de villes et sur les pignons de maisons doivent pouvoir intégrer des villes comme Châtelet qui ont un patrimoine et un projet centré sur le surréalisme. On peut comprendre que la métropole reçoive plus de moyens, on ne peut pas accepter que les moyens s’arrêtent trop souvent à la frontière de la métropole ! Que du contraire, il s’agit de réfléchir comme la Wallonie Picarde à un large plan de développement d’un grand bassin de vie urbaine qui permet notamment de financer les projets en incluant le financement européen.

3. Une évaluation des critères de choix, des montants et des lieux d’investissement de la Province du Hainaut au niveau culturel (cela suppose la réalisation d’ un cadastre)

Les villes de Mons et la région Picarde (incluant Tournai) reçoivent d’importants subsides culturels et Charleroi en bénéficie dans une moindre mesure et Châtelet, parfois, des miettes!

Il est urgent que les conseillers provinciaux, les députés permanents des différents partis qui détiennent la majorité (PS-MR), les chefs de partis exigent un cadastre des aides culturelles (cela inclut le patrimoine) reçues par l’ensemble des villes et communes de la province du Hainaut. Il n’est pas normal que la ville de Mons et la Wallonie Picarde reçoive beaucoup plus de moyens dans le domaine culturel et de la mise en valeur du patrinoine.

Je citerai un outil qui manque à Charleroi et à notre ville du bassin Carolo et Thudinien : un interface professionnelle à l’image de l’association culture Wallonie Picarde qui est «un ensemblier culturel territorial au service de tous les opérateurs et acteurs culturels de Wallonie picarde s’inscrivant dans la démarche des décrets régissant les opérateurs culturels de la Fédération Wallonie-Bruxelles ».

Deux raisons principales sont notamment en faveur du levier culturel Montois et de la Wallonie Picarde et malheureusement en défaveur de notre communauté urbaine et de notre ville  

A)Nous ne disposons pas de l’équivalent d’ un conseil de développement aussi performant que celui relié au WAPI qui unit au niveau d’un important territoire, une vision du développement économique et culturel d’un très large territoire.

B) Le cadastre que nous exigeons permettra de constater l’inégalité de traitement de la région de Charleroi et du sud Hainaut souvent mis en évidence par les opérateurs culturels (cela est sans doute lié à l’influence du député permanent qui a notamment le patrimoine dans ses attributions et qui peut avoir tendance à accorder plus de moyens à des projets de sa région.

Soyons clair! Nous demandons un cadastre de l’ensemble des aides culturelles (incluant le patrimoine) octroyées par la province du Hainaut ainsi qu’un plan de rattrapage, s’il en est, en faveur du Sud Hainaut, de l’arrondissement de Charleroi et de notre ville. (sixième ville de la province du Hainaut en nombre d’habitants)

4. Critères objectifs des montants des investissements culturels par grandes villes et arrondissements ou puissance des lobbyes de certaines grandes villes de la Fédération Wallonie Bruxelles.

Pourquoi les arrondissements et villes de Liège , de Mons et Namur reçoivent-ils plus de moyens que la ville de Charleroi au niveau des subventions culturelles de la FWB  . La ville de Châtelet, en dehors des académies,  ne reçoit pas grand chose malgré la richesse de son patrimoine.

Nous demandons qu’on puisse réaliser un vrai cadastre en matière culturel (en incluant le patrimoine) des villes de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Les outils existent, il faut globaliser les différents subsides, analyser le potentiel des villes lésées (comme Châtelet qui ne dispose toujours pas d’un centre culturel René Magritte et qui dispose de cacahuètes ) et réaliser un plan de rattrapage sur une législature.

Nous espérons que l’ensemble des députés de la région du Sud Hainaut exigeront ce cadastre !

Autre question posée

Quelle est la représentation des députés de la région de Charleroi au sein de la commission culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles ? (j’émets l’hypothèse d’une faiblesse du levier Carolo, d’où l’inégalité de traitement entre grands arrondissements et grandes villes.

Nous espérons que les députés de chaque parti poseront des questions parlementaires sur les critères de choix et sur la nature de la composition des membres des commissions culturelles, sans conflit d’intérêt entre mandats et administration ou direction d’institutions

5. Un bouwmeester au service des subsides européens valorisant une cohérence de la politique culturelle en lien avec le patrimoine commun de Charleroi à Châtelet en passant par Fontaine l’Evêque et les 26 autres communes

Il manque un ensemblier culturel organisé au niveau du bassin de vie de la métropole. L’exemple de l’association Culture Wallonie Picarde mériteraient d’être analysé par la conférence des bourgmestres. On devrait permettre à l’excellente équipe « C B Charleroi Bouwmeester et au dynamisme du BPS 22 de pouvoir élargir le champs d’action en expérimentant de la porte d’entrée du district Est à Châtelet, le concept d’ une ville musée à ciel ouvert et d’autres projets dans d’autres villes de l’arrondissement.

Il est important que la conférence des bourgmestres pose la question suivante : pourquoi les subsides européens au niveau culturel ne sont-ils pas plus souvent demandés avec le soutien logistique et politique de la communauté urbaine au lieu d’être essentiellement centré sur Charleroi ? (cela suppose d’utiliser d’activer des leviers qui dépassent les limites de nos villes …)

6. La Biennale René Magritte un dossier prioritaire (120 ans de la naissance du peintre ) associant les villes où René Magritte à vécu

Nous proposons une grande biennale co-organisée par l’ensemble des villes ou Magritte à vécu, l’équipe du bouwmeester ferait office d’ensemblier du projet et les bourgmestres concernés aidés par les présidents de partis qui introduiraient une demande officielle de subsides à la Fédération Wallonie Bruxelles. Chaque ville (où René Magritte à vécu) pourrait bénéficier d’une œuvre primée à placer sur une place ou une entrée de ville.

7. Mécénat culturel et comité du développement stratégique de la région de Charleroi-Sud Hainaut.

Comment intégrer le mécénat culturel à l’échelle d’un arrondissement, d’une communauté urbaine ?

Ce point devrait pouvoir être analysé au sein du Comité de développement stratégique (CDS) de la région de Charleroi Sud-Hainaut qui constitue un lieu d’échange d’informations, de réflexions, d’actions et de promotions en lien avec le développement stratégique du territoire et les grands acteurs économiques. Le privé via notamment les fondations (Albert Frère, Mestdagh, Roi Baudouin…) devraient faire l’objet de sollicitations par une cellule du comité de développement stratégique centrée sur le lien entre patrimoine – développement économique et richesses culturelles.

En annexes: 4 exemples qui démontrent la capacité de la ville de Charleroi à générer des projets et à les financer (une vraie compétence à partager avec les villes de l’arrondissement afin d’avoir une cohérence dans les projets culturels de la communauté urbaine.

1)Fresques urbaines internationales et biennale urbaine qui pourraient aussi s’étendre sur d’autres grandes villes de l’arrondissement  !

2) Le BPS 22, subsidié par la Province du Hainaut, ne pourrait-il pas ouvrir un espace exceptionnel de création urbaine en expérimentant ce concept au centre ville de Châtelet.

3)Un incubateur culturel qui s’étendrait au territoire de la communauté urbaine de Charleroi.

4) ART PUBLIC, subsidié notamment par la Commission des Arts de Wallonie qui prend possession de Charleroi pour sa 3e édition et pourquoi pas une association avec Châtelet dans un proche avenir ?

Quelques exemples concrets ou les projets culturels pourraient à l’avenir s’étendre à des potentiels culturels d’autres villes au sein du bassin de vie de Charleroi.

Lorsque la métropole Charleroi reçoit un subside européen via une association telle que « Asphalte » afin de développer le Street Art pourquoi ne pas intégrer deux ou trois communes périphériques (exemple à Châtelet devant la maison Magritte un grand pignon de maison pourrait être peint au nom du surréalisme et du renom de René Magritte…(la ville métropole organisant la diffusion culturelle au sein de l’ensemble du bassin de vie)

La ville de Châtelet doit à l’avenir mieux communiquer ses besoins et souhaits de projets… Pour le passé, on ne peut pas reprocher aux opérateurs Carolo de ne pas avoir intégrer la ville de Châtelet qui a été trop peu pro active (l’expression est très modérée) en matière culturelle. D’où l’idée d’un ensemblier culturel à l’échelle de la communauté urbaine.

1)Fresques urbaines internationales et biennale urbaine qui pourraient aussi s’étendre sur d’autres grandes villes de l’arrondissement!

«En 2014, des stars internationales du Street Art ont investi Charleroi pour participer à la première biennale d’art urbain «Asphalte». Initié par BPS22, espace de création contemporaine de la Province de Hainaut, le projet comprend onze fresques monumentales, réalisées au centre-ville, ainsi que des dizaines d’autres interventions plus petites».

2) Le BPS 22, subsidié par la Province du Hainaut, ne pourrait-il pas ouvrir un espace exceptionnel de création urbaine en expérimentant ce concept au centre ville de Châtelet

Il s’agit de développer le concept de ville musée urbaine en lien avec l’oeuvre de René Magritte dans le prolongement de son art et la distance innovante de créations surréalistes contemporaines.

3)Un incubateur culturel qui s’étendrait au territoire de la communauté urbaine de Charleroi

Nous sollicitons la création d’un incubateur de la communauté urbaine de Charleroi afin de favoriser l’émergence de créations artistiques dans un projet urbain avec un soutien logistique, créatif et financier (le projet de musée urbain à ciel ouvert pourrait être relié à d’autres projets de créations surréalistes contemporaine de la métropole). IL ne s’agit pas d’une délégation de pouvoir, mais d’une dynamique de développement culturel d’une histoire commune et d’une culture commune sillonnant entre les méandres de la Sambre.

4) ART PUBLIC, subsidié notamment par la Commission des Arts de Wallonie, prend possession de Charleroi pour sa 3e édition et pourquoi pas une association avec Châtelet dans un proche avenir ? (Et d’autres communes associées en lien avec les différentes portes d’entrées de la ville…)

«15 artistes ou collectifs présentent es œuvres intégrées au tissu urbain à Charleroi

(années précédentes : Tournai, Namur…) » Demain la porte d’entrée « Est » qui s’ouvre sur la périphérie après demain la porte d’entrée « sud » qui s’ouvre sur la périphérie…

4 Que serait Bouffioulx sans ces passeurs de valeurs, d’une maîtrise de l’artisanat, sans ces créatifs comme le maître Dubois dont l’ambition est de faire partager et savourer simplement le travail des artisans.

ECOLO considère que ce patrimoine et ce savoir-faire sont en danger parce que les derniers potiers (Dubois, Lardinois, Biron) risquent de disparaître et avec eux, une part de l’âme de Bouffioulx.

Le centre d’interprétation de la poterie ne suffit pas, il faut recréer une activité sur Bouffioulx qui corresponde à cette identité d’artisans et en lien avec la nature via sa réserve naturelle.

Nous refusons l’attentisme ambiant et l’avènement d’une cité sans âme qui en serait réduite à commémorer ses anciens potiers devant un monument aux morts!

4.3 ECOLO plaide pour qu’on développe à Bouffioulx une cité des potiers élargie à l’artisanat d’art incluant un pôle d’excellence en éco construction.

4.3.1Les atouts :

– Un savoir-faire ancestral des potiers

– Une identité semi-rurale

– Une proximité de la R3 reliée aux principales autoroutes

– Une école industrielle qui peut ouvrir sur Bouffioulx des cours en éco-construction et une formation de guide nature (réserve naturelle).

– Une école des Beaux-Arts qui peut ouvrir sur Bouffioulx l’atelier poterie , l’atelier orfèvrerie et ébénisterie, tout en proposant également la technique de la céramique.

Les anciennes poteries désaffectées méritent une véritable renaissance.

5 Bilan écolo 2016 : Charleroi 142 milions, Farciennes 6 millions Châtelet : RIEN …….

Fonds Européen (FEDER) Charleroi 142 milions, Farciennes 6 millions Châtelet : RIEN ………(dossier incomplet) Incapacité à aller chercher des subsides européens Feder alors que nous sommes sur 14 communes de l’arrondissement , 13ème au niveau des indicateurs de pauvreté et du manque de rentrées liées à l’impôt des personnes physiques. (pas de maison de jeunes, pas de centre culturel et écolo qui met la pression également pour un ravel Châtelet -Gerpinnes)

Titre de la presse : «  Charleroi, 142 millions. Farciennes, 6 millions. Pont-à-Celles, 4,8 millions d’euros…

Chatelet, rien.

Et ce n’est pas parce que les projets de Châtelet ne méritent pas d’argent mais bien parce que l’équipe communale a rentré des documents incomplets, et donc jugés irrecevables. Face à nos collègues de Sudpresse le directeur général de la commune, Christophe Lannois a invoqué un  » problème d’encodage informatique « . Sous-entendu,  » l’informatique  » serait responsable de cet échec. En fait pas du tout. Source : https://www.rtbf.be/info/regions/hainaut/detail_chatelet-loupe-les-fonds-feder-par-manque-de-preparation?id=

Un manque flagrant d’ambition au niveau culturel, un appauvrissement des centres villes, qui entraîne un sentiment d’abandon d’une partie de la population et l’arrivée d’une population de transit  A cela s’ajoute un refus de gérer la ville avec les habitants via des budgets participatifs octroyés à des comités de quartier.

Châtelet a raté en 2015 pour la deuxième fois consécutive les subsides europeens   du FEDER, plus de 23 millions  perdus pour les années 2015-2020 qui auraient  permis d’ améliorer la mobilité par la réalisation d’un pont reliant le ring (rue de la Station à la gare) mais aussi la possibilité de rénovation de façades au centre de ville et la création d’une maison des associations.

La majorité absolue socialiste semble incapable d’aller chercher des subsides importants et Châtelet dixième ville de la Région Wallonne ne dispose toujours pas d’un centre culturel subsidié ou d’une maison de jeunes..Les petites communes voisines en nombre d’habitants (Gerpinnes, Fleurus, Aiseau-Presles Farciennes ) ont su faire preuve d’un dynamisme dans la création de leurs infrastructures culturelles et d’éducation permanente avec des emplois à la clé et des activités quasi hebdomadaires. A croire que la culture avec le regard critique et la volonté d’émancipation sociale qu’elle peut susciter fait peur au pouvoir socialiste Châtelettain.

Il est plus facile d’organiser une forme de clientélisme larvé où le pouvoir répond à des demandes individuelles. La majorité absolue socialiste refuse toujours les budgets participatifs qui pourraient être accordés à des comités de quartiers. Ce pouvoir ne permet pas l’expression collective des citoyens organisés en comités de quartiers, non soumis à leur pouvoir et émettant des critiques et des souhaits d’aménagements de leurs lieux de vie.

Ecolo ne comprend pas le refus de sécuriser la gare de Châtelineau en occupant ses locaux (pour un franc symbolique)et de créer au départ de la gare de Châtelineau une vraie mobilité mais aussi des activités de location de voitures partagées, des repars vélos, des locations de vélo et un parcours Magritte.

La gare devrait être un chantier culturel et artistique en partenariat avec l’académie des Beaux Arts. La ville de Châtelet n’a pas compris que les gares demain seront les lieux principaux de mobilité et de diffusion culturelle.

Ecolo Châtelet et ECOLO Gerpinnes se réjouissent d’un projet de Ravel qu’ils réclamaient depuis des années,(RAVeL reliant Bouffioulx à Gerpinnes ).

ECOLO remercie le partenaire Gerpinnois qui a permis d’appuyer ce projet auprès du Ministre de la mobilité. Il faudra organiser une mobilité douce en sécurisant les chaînons manquants entre ce prochain RAVeL et les chemins conduisant vers la gare de Châtelineau et vers Presles via l’ancien chemin viccinal. 

ECOLO regrette que le plus petit piétonnier du pays (la rue du Commerce) ne soit pas un piétonnier mais une route sans trottoir pour les voitures !  Mais nous sommes au pays du surréalisme …. 

Ecolo se réjouit qu’enfin le conseil communal des enfants se déroule dans un dynamisme créatif grâce à l’apport de l’ASBL Mikkado qui suscite une réflexion et des projets citoyens avec les enfants des écoles de l’ensemble des réseaux.

ECOLO regrette que la ville n’a pas suivi sa proposition d’acquérir chaque année une maison dans le centre de Bouffioulx et dans le centre de Châtelet. Cela aurait permis de permettre l’installation d’artisans à Bouffioulx en vue de créer sur dix ans une cité de l’artisanat et de la poterie et à Châtelet permettre l’installation à loyer réduit de nouveaux commerces apportant une plus  value et une qualité de service.

6 Le conseil communal de la ville de Châtelet de ce lundi 22 mai 2017 : des clopinettes pour fêter l’année Magritte  ( rien n’était prévu au budget  2017 les socialistes croient-ils au levier de la culture ?

Monsieur Luc Bogaert, au nom du groupe écolo avait mis à l’ordre du jour : comment la ville de Châtelet va t-elle fêter l’année Magritte ?

l’échevine de la culture a présenté l’événement un week-end en septembre organisé en partenariat avec de nombreuses associations. En modification budgétaire, votée le lundi 22 mai 2017, la ville a enfin prévu un budget à savoir : la modique somme de 8.275 euros (non prévue au budget, mais en modification budgétaire du 22 mai 2017)

Je ne doute pas que les partenaires associatifs et l’académie des beaux arts vont tenter de faire le maximum avec une somme aussi réduite. Ils auraient certainement préféré que l’événement soit mieux planifié et mieux doté en moyens et en partenariats extérieurs.

Dans d’autres villes et dans les milieux culturel on s’étonne, que des responsables politiques socialistes de Châtelet n’aient pas intégré la valorisation permanente de la culture comme outil de richesses de multiples formes d’expressions et d’image d’une grande ville ayant un riche patrimoine et de grands artistes et en particulier René Magritte.

Des clopinettes pour fêter un événement majeur : l’hommage à René Magritte, à l’occasion du cinquième anniversaire de la mort du peintre surréaliste Belge. C’est le drame de la ville de Châtelet dans son manque de volonté politique de mettre la culture en avant en se dotant d’outils culturels permanents.

Le développement culturel d’une ville : cela doit être un vrai choix politique, mais faut-il encore que les majorités absolues socialistes de ces dernières décennies aient osé y croire. Châtelet est victime d’un manque de volonté politique et devient une ville déshéritée dans les moyens qu’elle reçoit des différents niveaux de pouvoirs.

Châtelet a une incapacité à aller chercher des subsides, à créer un centre culturel, à aller investir les cabinets ministériels avec des analyses sur son sous financement culturel. Dans le cadre de cet événement, la ville aurait dû s’inscrire depuis des années dans un calendrier des grands événements à mettre en œuvre avec des moyens financiers appropriés en allant chercher des partenariats extérieurs y compris avec le musée Magritte à Bruxelles et l’organisation Belge de l’année Magritte en Belgique.

Luc Bogaert demande qu’on puisse chiffrer, ce que chaque grande ville reçoit en dotation et en moyens culturels afin qu’on puisse mettre en avant l’énorme rattrapage qui doit être effectué car la culture est un outil de développement humain, d’expression, d’intégration et de regards critiques et constitue une attractivité importante pour une ville comme Châtelet dont le patrimoine est insuffisamment mis en avant tant au niveau des habitants de Châtelet qu’à l’extérieur de la ville.

Pour rappel René Magritte a vécu à Châtelet de 1904 à 1917 à Châtelet et a vu naître au sein de notre ville sa vocation de peintre, il a été en contact avec des peintres de Châtelet et de la région qui ont influencés l’évolution de son art. C’est ainsi qu’on a parlé de l’école de peinture surréaliste de Châtelet.

Il vendit ses premières œuvres à Châtelet

De nombreuses interventions du groupe écolo visant à relier l’identité des habitants de Bouffioulx, à leurs racines empreintes de ruralité et de savoir-faire à mettre en avant.

7 La ville de Châtelet refuse la demande du groupe écolo de participer à l’appel à candidature «Communes zéro déchet» + nouvelles demandes de création d’un centre culturel (aucun dossier n’a jamais été réalisé par la ville ) et demande de création du RAVeL Bouffioulx Gerpinnes. février 2017

Au dernier conseil communal du mois de février (20 février) le groupe écolo a demandé à la majorité socialiste de mobiliser toutes les forces vives et associatives autour du projet «Communes zéro déchet».

L’objectif du groupe écolo est de développer une prise de conscience et une culture participative des habitants autour du concept d’une ville propre où il fait bon vivre ensemble.

Ce projet de la région wallonne constitue pour le groupe écolo une opportunité pour préserver les ressources, modifier les habitudes d’achats (produits sur-emballés….) intensifier les collectes sélectives de déchets, la promotion du compostage, le respect de clauses environnementales au niveau des marchés publics et la mobilisation de l’ensemble des services communaux.

En mobilisant toutes les forces vives au niveau de la rédaction d’un projet, la ville pouvait bénéficier durant deux ans de l’accompagnement d’espaces environnement.

Malheureusement, la majorité socialiste a considéré «qu’elle en faisait déjà assez»!

Il suffit de se promener au sein de la ville de Châtelet pour se rendre compte d’une situation désolante, d’une ville de plus en plus sale et d’un centre urbain insuffisamment attractif alors que Châtelet dispose de nombreux atouts pour rendre la ville plus belle, plus propre, plus attrayante…

Mais faut-il encore en avoir la volonté politique…

Après tant d’années à constater l’appauvrissement de la ville aux niveaux culturel, économique et environnemental, le groupe écolo espérait que la majorité socialiste sortirait de son immobilisme et se montrerait ouverte à réaliser un plan global «zéro déchet» en insufflant une culture «du beau» et du respect de l’environnement en utilisant toutes les opportunités que peut proposer la région wallonne. Après avoir raté le projet FEDER (subsides européens), délaissé les commerces du centre ville, la majorité absolue continue à décider seule et à ne pas oser s’inscrire dans de grandes projets.

Le groupe écolo a également regretté l’absence d’une politique culturelle…et demande la création d’un centre culturel.

Toutes les communes entourant Châtelet dispose d’un centre culturel proposant des activités théâtrales, des concerts, des rencontres débats, des contes pour enfants. La dixième ville de la région wallonne ne dispose toujours pas d’un centre culturel.

Le groupe écolo finit par croire que la culture qui favorise l’esprit critique et la participation citoyenne fait peur au pouvoir socialiste. La ville de Châtelet serait bien incapable de montrer le moindre dossier de demandes de subsides réalisés ces six dernières années.

Le groupe écolo propose à la ville d’oser introduire un dossier auprès du ministère de la culture, car il est inacceptable qu’une ville de plus de 35.000 habitants ne dispose pas d’un outil culturel permanent que constitue un centre culturel.

ECOLO demandera des copies de toutes les tentatives du Collège échevinal y compris parlementaires et ministérielles permettant de créer un centre culturel ou à défaut un grand partenariat avec subside à l’appui avec le centre culturel de Charleroi ou/et d’Aiseau-Presles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 23 février 2017

Le groupe écolo se réjouit que ses multiples demandes visant à créer un RAVeL3 entre Châtelet et Gerpinnes puissent enfin être retenues.

 

Ecolo organise régulièrement dans le cadre de l’opération sentier.be des promenades nature qui se terminent à l’entrée de la réserve naturelle de Bouffioulx afin de mettre en évidence la possibilité de relier de nombreux sentiers entourant la réserve naturelle et les splendides chemins de campagne sur les hauteurs de Bouffioulx entre les hameaux de Chamborgneaux, Blanche-Borne, Saint Blaise et le bois de Châtelet. Ces balades sont aussi l’occasion de mettre en valeur le patrimoine de la ville de la gare de Châtelineau au parcours Magritte en passant par les artisans potiers de Bouffioulx.

Ces actions locales sont relayées régulièrement par des interventions au conseil communal en faveur de la création de voies lentes longeant des espaces naturels, mettant en valeur le patrimoine et le respect de l’environnement (opérations quartiers propres).

Ce chaînon manquant permettra de relier le Ravel de Courcelles à la gare de Châtelelineau via le piétonnier de Châtelet centre et des sentiers vers le futur ravel Bouffioulx – Gerpinnes – ancienne ligne 138 vers Florennes et Ermeton/S/Biert (en projet).

Ce futur RAVeL permettra également de longer la réserve naturelle Sébastopol de Bouffioulx, le bois de Châtelet et rejoindre le RAVeL en direction du Château de Presles et d’Aiseau, via le chemin vicinal des «Marchaux» (près de la rue de Namur). 

La décision de la commune de Châtelet vise à confier à l’intercommunale IGRETEC un contrat d’étude en voirie. Ecolo espère après tant d’années perdues que des subsides seront rapidement demandés au Ministre des Pouvoirs Locaux et au Ministre de la Mobilité.

Ecolo renouvellera également ses demandes visant un meilleur balisage des chemins et sentiers incluant des panneaux didactiques afin que chacun puisse prendre conscience du lien qui nous relie à « notre mère nature » et à mieux respecter notre terre, notre terroir, la qualité de vie et la vie des générations futures.

Pour le groupe écolo Châtelet Luc Bogaert

 

1Pour Rappel René Magritte est né le 21 novembre 1898 à Lessines, résident à Gilly de 1900 à 1903 et à Châtelet de 1904 à 1917

2https://www.aparences.net/periodes/art-moderne/le-surrealisme/

Extrait : « Les puzzles picturaux de Magritte sont des jeux intellectuels qui en même temps questionnent radicalement la réalité. Son thème n’est pas une invocation de l’inconscient sinon la volonté de confondre le spectateur et sa perception habituelle, l’affrontant à des éléments inégaux, incompatibles, sans aucune relation entre eux.

Magritte veut faire de la peintre un « moyen » pour approfondir la connaissance du monde, « mais une connaissance qui soit inséparable de son mystère ». Alors la barrière entre l’intérieur et l’extérieur tombe ; celle qui existe entre contenant et contenu s’évanouit ; le rapport entre le nom et l’objet qui le désigne change (« Ceci n’est pas une pipe », de 1928/29) ; les rapports d’échelle se transforment ; les perspectives sont faussées et des rapports plus complexes entre le langage et le monde des objets sont suggérés »

3 Le Ravel http://ravel.wallonie.be/home.html« C’est plus de 1.365 km de voies réservées aux piétons, cyclistes, cavaliers, personnes à mobilité réduite ! Confortable et sécurisé, le Réseau Autonome des Voies Lentes (Ravel) est composé de voies vertes essentiellement aménagées sur les chemins de halage et les anciennes lignes de chemin de fer. A l’échelon local, cela représente plus de 45 itinéraires.Ces voies vertes sont progressivement reliées entre elles pour former 9 itinéraires

De nombreuses interventions du groupe écolo visant à relier l’identité des habitants de Bouffioulx, à leurs racines empreintes de ruralité et de savoir-faire à mettre en avant. régionaux et 4 itinéraires internationaux qui couvrent l’ensemble du territoire wallon. Le Ravel, les voies vertes et les vélo routes permettent ainsi de parcourir la Wallonie en toute tranquillité sur plus de 2000 km et de découvrir grandes villes, terroirs ruraux et espaces naturels préservés ! »