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- Nous souhaiterions au niveau de la bibliothèque une extension des abonnements presse au journal le soir et à la libre Belgique.
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- Des automobilistes ont été régulièrement coincés dans des ornières profondes du rond point de la vache vers l’ancien terrain de football, mais aussi le long du bois de Châtelet en direction de Villers-Poterie (étendue d’eau qui déborde sur la chaussée entre Châtelet et Villers-Poterie et ornières très profondes ). Où en est le projet d’une piste cyclable qui relie Aiseau-Presles vers Villers-Poterie et Châtelet de la rue de Namur vers Villers poterie ?
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- Nous proposons d’accentuer les actions de prévention et de sensibilisation au risque climatique en prélevant un pourcentage des économies d’énergies réalisées à des projets concrets ( débats- plantation de square d’arbres – projets de comités de quartiers centrés sur la réduction de l’empreinte climatique – théâtre action sur la prévention au sein des écoles et sensibilisation accentuée par l’ équipe du plan de cohésion sociale )
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- Concernant les aménagements de la nouvelle crèche, les espaces verts et notamment les arbres sur le site seront-ils préservés ?
- Quel avenir pour la jeunesse Châtelettaine ?
Lors du conseil communal du 20 novembre, nous évoquions les plaintes de parents et riverains faisant état d’une situation d’insécurité en raison de la présence de « bandes de jeunes » dans plusieurs rues et quartiers de Châtelineau le conseil, à l’unanimité, a alors donné son accord pour une interdiction de rassemblement de plus de 4 personnes avec la demande du groupe Ecolo de renforcer l’action sociale sur le terrain, notamment avir des éducateurs de rue afin d’ouvrir le dialogue.
En effet, si nous cautionnons ce genre de décision extrême, nous pensons indispensable d’avoir une réflexion sur les raisons qui amènent à devoir les prendre, parce qu’il n’y a plus d’autre option.
Quelle place pour la jeunesse dans notre ville ?
Alors que des projets sont en cours de réflexions afin d’élargir les propositions d’encadrement pour les jeunes, que faire pour ces générations sacrifiées qui n’ont pas de maison de jeune, de centre culturel, pas d’espace de rencontres ne fut-ce que pour le repas de midi en ville, vu le nombre d’écoles, ils ne peuvent pas tous être accueilli par le PCS et squat les devantures couvertes des magasins fermés. Triste vision du centre ville… Ces structures permettent pourtant de nouer des liens avec sa commune, de mieux la connaître et ainsi de la respecter.
Beaucoup d’effort sont pourtant fait par les différents services comme le plan de cohésion, l’accueil temps libre et le service jeunesse qui tente de faire un relais des attentes des enfants et des jeunes de l’entité comme le projet « Comm’une Action » où le conseil des jeunes avait listé des projets pour leur ville, où cela en est-il ? L’écart se creuse et la jeunesse ne s’investit pas pour sa ville car elle ne lui reconnaît pas ses droits.
Le 20 novembre dernier nous fêtions pourtant le 34ème Journée mondiale de l’enfance qui célèbre l’anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant adoptée le 20 novembre 1989 par l’Assemblée Générale des Nations Unies et ratifiée par la Belgique.
Et pourtant il y a encore beaucoup de chemin à faire afin d’établir un principe d’équité pour chaque enfant/jeune sur la commune.